This is an exchange between Y. from Nicaragua and Benjamin Safari from the Democratic Republic of Congo. For security reasons, the name of the student from Nicaragua was anonymized.
Letter 1
Estimado Benjamín,
Es un gusto saludarte desde Managua, Nicaragua. Me alegra poder compartir nuestras experiencias y puntos de vista desde dos partes del mundo y tener la oportunidad de ser tu amiga por correspondencia mediante este proyecto. Siempre me he preguntado como abordar este tema tan importante como lo es Educación de Calidad. Pues, en Nicaragua se tiene una visión un tanto distorsionada del verdadero concepto del tema.
Verás, para empezar me gustaría relatarte sobre lo que yo he experimentado; estudiar en un colegio público y un colegio privado. He visto ambas caras de la moneda. No obstante, siempre me llevé la percepción de que las instituciones privadas eran las más ideales y las indicadas en cuanto a “un futuro exitoso” se tratase. Mi concepto era: mientras más disciplina y múltiples reglas, mejor me estoy educando. Lo sé, suena muy retorcido.
Dicho esto, como estudiante de Enseñanza del Inglés como Lengua Extranjera, se me ha dado la oportunidad de conocer estos conceptos, este mundo de la educación tan atractivo y liberador. Lo describo como liberador porque gracias a ello he desarrollado muchas habilidades que ni sabía que existían, estaban escondidas muy dentro de mí. Puedo asegurar que el concepto retorcido de “buena educación” que merodeaba en mis percepciones ha desaparecido. Pues, entendí que esa “buena educación” es la que te da ese sentimiento liberador y las ganas de comerte el mundo. No solo eso, te da las herramientas necesarias para entenderse a sí mismo.
En Nicaragua mucha gente reacciona de manera distinta cuando se habla sobre el tipo de educación que un individuo ha tenido. Para ilustrarte mejor; un graduado de una institución pública tiene más probabilidades de no ir a la universidad y directamente conseguir un empleo, por otro lado, un graduado de la institución privada se le ve como el alto ejemplo a seguir y se asume que tendrá éxito en su vida profesional. El ministerio de educación (MINED) es el rector del sistema educativo de Nicaragua. Todas las instituciones desde preescolar a hasta secundaria deben trabajar bajo sus planes de estudio, eso lleva a la conclusión de que en todas estas instituciones las expectativas del graduado sean las mismas. Esto no ocurre. Es aquí donde me refiero a la distorsión.
En mis memorias están aquellos días en el colegio público transcribiendo extensas páginas de información de la cual ni conservo hoy en día, es más, si lo imagino se ve como mucho texto no entendible. Por otro lado, cuando me integre a un colegio privado pude notar como me costó mucho adaptarme e integrarme, pero sobre todo que… ellos no transcribían extensos textos, ni memorizaban conceptos que al cabo de dos horas has olvidado. Pude sentir como me había equivocado tanto al pensar que estaría sometida a más regulaciones y prohibiciones. Es más, sentí pena por los compañeros que había dejado atrás, pensé “pobre de ellos, no pueden experimentar esto.” Esto no lo hice con un tono altanero, es más, fue pura inocencia.
Educación de calidad es como sentar bases para una casa, necesitas materiales (recursos educativos) resistentes para empezar fuerte, se necesitan arquitectos (maestros) que sepan como armar una estructura para que perdure por años y por último, necesitas los suplementos necesarios (herramientas para el futuro) para darle un toque único. Sin uno de estos elementos algo estará fallando y faltando siempre. ¿Quién puede tener la culpa? Definitivamente, es un trabajo complementario. Yo era una persona con mucha ansiedad social, hacer una exposición oral me congelaba, pero jamás olvidaré a una maestra que me enseño que todos se equivocan y no tenía por qué temer a hacer algo que absolutamente todos experimentamos y estaba bien sentirme así, porque era algo normal. Tampoco olvido esos libros llenos de actividades que retaban mi mente con historias y actividades de comprensión lectora, me sentía tan feliz de poder expresar lo que había dentro de mí. “Tantos años sin tener esta libertad” pensé.
Hasta este punto sé que has notado que soy fan de hacer cómicas referencias hacia mis experiencias y tengo tanto que decirte, pero quizás esto se convertiría en un libro. En fin, Benjamín te agradezco por leer mi carta y espero con ansias leer sobre tus experiencias.
He aquí unos detalles que quisiera saber,
Donde vos vivís, ¿cuál es la percepción de escuela privada y escuela pública?
Respecto a mi metáfora sobre educación de calidad, ¿Cómo podrías describir la tuya?
¿Cuál fue aquella experiencia que contribuyo a desarrollar tu propio concepto de “educación de calidad”?
Saludos,
– Y.
Letter 2
Bukavu, le 22mars 2023
A : Y.
Sujet : Education de qualité
Chère Garcia,
J’ai l’honneur de vous saluer depuis Bukavu en République Démocratique du Congo. En effet, très chère, j’ai pris plaisir de lire vos points de vue et votre expérience personnelle sur notre sujet concernant l’éducation de qualité et j’ose croire que ma lettre sera aussi enrichissante pour vous que la vôtre a été pour moi.
Au fait, les problèmes rencontrés au niveau éducatif dans votre pays le Nicaragua sont similaires aux nôtres. Dans mon pays, on constate un relâchement dans la cause visant à donner une éducation de qualité, la tendance qui se remarque est que les écoles privées vont jusqu’à considérer l’éducation comme un business plutôt rentable, il suffit d’avoir assez de moyens pour monter dans la classe supérieure même si l’on n’a pas totalisé la moyenne requise ou pour acquérir certains privilèges, tel qu’être impunissable aux yeux de tous les enseignants ; cependant ces élèves qui n’ont pas eu la chance de naître dans des familles nanties se retrouvent dans une situation délicate vu qu’ils sont dans l’impossibilité de s’offrir le même luxe que ceux-là des familles fortunées. Dans les écoles publiques tout comme dans celles privées, les enseignants ne fournissent aucun effort pour aider ces élèves qui ont du mal à s’adapter, en cas d’échec, ils sont recadrés en étant fouettés ou en étant traités de tous les mots.
Autant que vous, j’ai eu l’expérience de côtoyer ces différentes écoles, ici chez nous, on trouve un autre type particulier d’écoles publiques, celles dirigées par l’Eglise à partir d’une congrégation des Sœurs religieuses ou d’une compagnie de prêtres. Personnellement, j’ai passé la grande majorité de mes études dans ces écoles dites « conventionnées », plus spécifiquement dans des écoles conventionnées catholiques. Mon expérience a été que les élèves sont soumis à une pression permanente qui amène nombreux d’entre eux à sombrer dans la dépression, ils sont obligés d’étudier d’une manière qui ne favorise que ceux et celles capables de s’adapter facilement d’où des nombreux cas d’échecs, des multiples redoublements à la fin de l’année ; je tiens à noter qu’il n’y a aucun suivi ni assistance sociale pour ces élèves qui étaient renvoyés faute des moyens pour s’acquitter de frais scolaires souvent exorbitants, ni pour ces élèves qui étaient déjà traumatisés par le fonctionnement du système.
Récemment j’ai lu un livre écrit par un Abbé dénommé Sébastien MUYENGO MULOMBE, intitulé « ENFANTS DU CIEL, MISERES DE LA TERRE », dans ce livre, l’auteur congolais nous relate les situations réelles dans lesquelles vivent et évoluent les enfants congolais qui n’ont pas pu accéder aux études à cause de la pauvreté et des conditions de vie quasiment inhumaines et inconcevables. Tout ce qu’il a écrit, nous le vivons au quotidien et nous sommes désolés par cela et moi le premier. Je vous partage les leçons retenues dans ce livre car je trouve que la situation que nous vivons ici chez nous en République Démocratique du Congo possède plusieurs similitudes. Il y a tellement de problèmes dans notre système éducatif qui nous empêchent à atteindre des bonnes études alors que selon moi, une éducation de qualité est celle à laquelle tout le monde peut accéder dans le but d’acquérir une formation adéquate et équitable quelles que soient les conditions financières dans lesquelles la vie nous a placés.
L’expérience qui a bâti ma conception de l’éducation de qualité c’est surtout mes années passées dans les écoles conventionnées à y étudier et à y observer le déroulement de choses. Quand bien même, la vie m’a accordé cette chance d’étudier dans des bonnes écoles malgré tout ce qu’il y avait comme défaillance du système éducatif sinon aujourd’hui je ne serai pas en dernière année de médecine à l’Université Catholique de Bukavu en train de vous partager mon vécu. Je ne peux pas vous dire que la route n’a pas été parsemée d’embûches et qu’au passage j’ai dû voir des amis s’orienter vers des horizons peu recommandables par manque de connaissances suffisantes pour se construire un avenir prometteur car cela saurait vous mentir.
Très chère Garcia, j’ai tellement de choses à vous partager compte tenu du fait que je suis personnellement affecté par ce qui se vit ici chez nous ; voir des enfants quémander à la route, des jeunes s’adonner à toute sorte de débauche, des familles malheureuses, des élèves dépressifs, mon pays par terre ; à défaut d’une éducation de qualité, me laisse sans mot et submergé d’une profonde mélancolie.
Un livre de mille pages ne suffirait pour vous partager la totalité de mes pensées, toujours est-il que je vous remercie d’avoir pu lire ma lettre, j’éprouve du plaisir à l’idée de lire prochainement le supplément de vos expériences et points de vue.
Cela étant dit, voici quelques éléments que je préférerais connaître :
Quelle a été votre expérience marquante, positive et/ou négative durant tout votre cursus éducatif ?
En Nicaragua, comment les différentes écoles appliquent-elles le système éducatif établi par le Ministère de l’éducation ?
Concernant l’éducation primaire, quel type d’encadrement les enfants reçoivent-ils ?
Mes sincères salutations,
Benjamin Safari.
Letter 3
Estimado Benjamin,
Nuevamente, es un gusto saludarte y escribirte. Quiero expresarte que he quedado hipnotizada al leer tu carta, ha sido atrapante y deberás refleja lo que has vivido y lo que ocurre en tu país. Al final, tenemos más similitudes de lo que parece, a pesar de estar 11,938 km de distancia.
Educación de calidad… vaya tema pesado que hemos abordado, no obstante, gracias a este espacio nos hemo dado cuenta cuán distorsionado está el concepto. Los estudiantes deberían estar abiertos a un mundo infinito de aprendizaje y oportunidades, deberían conocer lo que ofrece el mundo, a no limitar su potencial y mucho menos conformarse con lo que tienen, la educación debería animar a sacar las mejores versiones de cada estudiante. Benjamín, pues en la última carta que te envíe no había surgido la nueva tendencia indicada hacia los colegios públicos, pues sin en tu país pagan por pasar materias, pues acá los estudiantes lo hacen gratis, ya que se han eliminado los exámenes de las evaluaciones críticas para el aprendizaje y esto solo a instituciones públicas y escuelas multigrados. La orientación es que ningún alumno puede reprobar, y si lo hacen, pues el maestro tiene que pasarle. Yo opino que esto es indignante, pues se está animando a la pereza y el conformismo. Todo esto me hace pensar que el concepto de “educación” y “calidad” estan totalmente desvaneciéndose.
Me has preguntado, ¿Cuál ha sido la experiencia que más le ha marcado, positiva y/o negativa, a lo largo de su formación? Anteriormente, te relaté que tuve la experiencia de estudiar en escuelas públicas y privadas. La experiencia que más me resuena y que encaja de manera positiva y negativa fue la transición que tuve de un ambiente hostil a uno cómodo al cambiar de escuela privada a pública cuando tuve nueve años. La distorsión que tenía sobre mi realidad… sé que quizás puede sonar obsoleto que yo haya tenido tales pensamientos a esa edad, pero siempre he sido de pensar y analizar cada momento de mi vida. Yo llegué a creer que estudiar se basaba en tres cosas: escribir, escuchar y memorizar. Vaya vil mentira en la que estaba sometida. Es más, en mi primer día en escuela privada la maestra sugirió unas actividades, que a mi criterio sonaban extrañas, ella dijo: dibujar o dictado. Inmediatamente, pensé que era broma y yo elegí escribir. Todos me vieron raro y se rieron. Ahora yo también me río, pero sé que no es culpa mía. El motivo por el cual te relato esto, es porque quiero ilustrarte la mentalidad gris en la que éramos sometidos; No había ánimo a la creatividad, pensamiento propio y mucho menos el amor al estudio.
Si crees que eso ya es malo, hoy en día es peor. No voy a negar que ambas instituciones (pública y privada) han abierto sus horizontes y animan a los estudiantes a ser “menos grises” pero el sistema nuevo en el que estan siendo adoctrinados es letal. Creo que una mente perezosa y conformista es peor que una mente vacía.
Yo trabajo en este mundo de la pedagogía, mi rama es enseñanza del inglés y créeme, siempre animo a mis estudiantes a potenciar sus habilidades y siempre ir más allá. El sistema educativo muchas veces encapsula todas esas mentes maravillosas. Por ahí leí “En alguna mente está la cura del cáncer, pero quizás no se le está dando la oportunidad de desarrollarla.” Esto siempre me hace pensar en aquellos que ni siquiera tienen acceso a la educación del todo. Lamento leer las circunstancias en la que los jóvenes de tu país sé exponen, todas esas mentes brillantes que tienen su luz apagada por culpa de una corrupción letal a su “educación de calidad” aquí en Nicaragua y en la República del Congo.
En cuanto a la educación primaria, ¿qué tipo de supervisión reciben los niños? Las instituciones educativas en Nicaragua trabajan involucrando a los padres de familia afortunadamente. No obstante, solo los estudiantes de primaria son los consentidos. Verás, se tiene esta idea que al entrar a la secundaria los estudiantes en un chasquido se tiene que volver independientes y aquí es donde se descarrilan y se ven orientados ahora en graduarse y conseguir un trabajo, en muchos casos abandonar el colegio y directamente integrarse al mercado laboral. Nicaragua está pasando por una crisis económica tremenda, precios suben y bajan exorbitantemente. Por consecuencia, la clase media y baja vive estresada por el mañana, esto es transmitido a los hijos y la desesperación los obliga a ser parte de la solución económica y dejar de ser un peso en la familia. Así mismo, olvidando sus sueños, talentos y poniendo su educación en segundo plano.
Es triste vivir en este contexto, hay muchas cosas que estan mal y es duro pensar que quizás no cambiaran pronto o talvez nunca. Gracias por compartir conmigo e ilustrarme como se tratan tales conceptos en tu país, Benjamín. Aprecio mucho este intercambio cultural, espero que las cosas mejoren en Nicaragua, tanto como en la República del Congo.
Saludos cordiales,
Y.
Letter 4
Bukavu, le 10 mai 2023
A : Y.
Sujet : éducation de qualité (quality education)
Très chère Garcia,
Je vous présente mes sincères salutations ! Véritablement, je ne peux que m’estimer heureux de vous avoir lu une nouvelle fois et d’avoir cette occasion de vous écrire. Il se trouve que j’ai été plus attentif à vos correspondances qui fascinantes et instructives ont-elles été pour moi. En dépit de cette longue distance qui sépare nos deux lieux, je suis bien d’accord avec vous sur les similitudes que présentent nos différents pays concernant l’éducation de qualité.
En République Démocratique du Congo, la mentalité éducative est telle que les élèves sont en perpétuelle compétition ce qui diminue considérablement les chances de travail en parfaite cohésion. Et en plus de cela, elle n’articule pas théorie et pratique, formant ainsi des solliciteurs et non des créateurs d’emplois. Ainsi, nous ne pouvons qu’adhérer à la pensée du chercheur Français Albert JACQUARD qui affirme : « Notre société est telle que l’horizon du système scolaire se borne à des classements, mais le véritable objectif devrait être en permanence de progresser, d’être meilleur que soi-même et non meilleur que les autres ». Ma chère, vous avez sûrement dû constaté que je suis particulièrement affecté par ce sujet si prenant qu’est l’éducation de qualité; par conséquent , permettez que je vous fasse un dessin beaucoup plus net. En effet, nombreux sont les problèmes directement liés à l’absence d’une éducation de renom, tout ce qui est débauche et que nous voyons dans les coins sombres de nos rues, tout ce qui est insécurités alimentaire, sanitaire et financière et que nous ne savons plus par quel moyen combattre, est fruit émanant tout simplement de l’inaccessibilité totale ou partielle à l’éducation de qualité. Je me sens spécifiquement concerné, je suis même persuadé que nous devrions tous l’être ; j’ai grandi dans un milieu de la ville pas très indigent où j’ai eu cette possibilité d’observer, d’analyser voire de vivre certaines de ces situations. Imaginez-vous, nous sommes déjà au vingt-unième siècle et dans plusieurs contrées, les croyances selon lesquelles, seuls les jeunes garçons ont droit à la scolarisation, seuls les hommes ont accès à la direction et à la gestion, continuent de persister. La manière qu’au Nicaragua il n’y a aucun encouragement à la créativité et à la réflexion personnelle, c’est de cette même manière que procède notre système éducatif congolais. Nous irions jusqu’à croire que les étudiants et élèves sont des machines à mémoriser incapables d’opérer une quelconque innovation.
Il serait impensable d’affirmer que la dépravation des mœurs et la pénurie presqu’à tous les niveaux revient à la responsabilité de l’Etat ou du gouvernement en place car pour arriver au niveau où nos pays se trouvent il a fallu que chacun apporte sa contribution d’une manière ou d’une autre, en parlant de chacun, je veux surtout signifier qu’il s’agit de nos familles, car elles sont même la base de l’éducation. Etant donné que nos familles s’adonnent au relâchement de l’éducation fondamentale, il est évident que le reste qui suivra ne peut qu’asseoir un échec imparable.
Le reste en question ce sont les enseignements primaire et secondaires qui censés développer un esprit et une aptitude au travail chez chaque individu, aujourd’hui semblent posséder une moindre considération, ces niveaux d’enseignement ont été transformés en ¨business plutôt rentables¨, formant ainsi la quantité et non la qualité. Parlant des études universitaires, elles sont ¨assez satisfaisantes ¨ faute de matériels didactiques, des infrastructures adéquats et de bonnes conditions d’étude telle que les frais académiques ; j’ai abordé ces points beaucoup plus en profondeur dans ma précédente correspondance, ainsi donc j’évite toute répétition.
Il est vrai que vu sous cet angle, tout parait entièrement noir, cependant nous ne pouvons pas espérer une éducation de qualité si la grande majorité de ces problèmes n’est pas encore résolu et il serait irresponsable de notre part à tous d’attendre que ce soit à seul l’Etat congolais ou nicaraguayen de trouver des solutions car il importe que chacun à son niveau, vous en tant qu’enseignante d’anglais et moi en tant que médecin et selon ses moyens apporte sa pierre à l’édifice.
Ceci dit, je demeure convaincu que seule la hausse de la qualité de l’éducation parviendra à relever nos deux pays qui visiblement agenouillés.
Chère Garcia, je suis profondément honoré et joyeux d’avoir eu cette opportunité de discuter avec vous sur la primordialité et la nécessité de l’éducation de qualité. Je vous ai lu avec beaucoup de plaisir, élargir le champ de vision que j’avais sur le sujet d’éducation, partager mes opinions avec une personne avisée telle que vous, a été pour moi une expérience tant particulièrement captivante qu’édifiante.
Sur ce, je vous prie de croire à l’expression cordiale et respectueuse de mes salutations.
Benjamin SAFARI.